18 avril 2010
Enfin : la première navigation
La finition n'est pas achevée, mais il est en ordre de navigation. Alors n'attendons pas plus longtemps. D'autant que c'est le premier WE ensoleillé après un hiver interminable.
Construction d'un Zodiac en vieux rouleaux
Mon futur sous-marin Akula : master en cours de fabrication
Plan du John H Amos
Entretemps, je me suis procuré les plans réels du John H Amos (merci André) sous format A2.
Afin de le remettre à l'échelle de ma construction, je devrai aggrandir le plan de 243 %. de cette manière, les paddle-box auront les mêmes dimensions que celles du Glasgow (toutes les superstructures sont basée sur les dimensions des paddles box). L'échelle de mon John H Amos sera alors de 1/35 ce qui m'arrange car de nombreuses boîtes de construction sont disponibles à cette échelle.
A cette échelle, les principales dimensions du John H Amos coincident avec celles du Glasgow (largeur, longueur, hauteur, ...) . L'allure générale du bateau sera donc respectée.
L'assemblage est peut-être surdimensionné et de simples "oeilletons filetés" auraient suffit pour dévier les câbles de commande, mais je voulais faire l'exercice... Les supports du servi sont vissés dans les couples.
Pendant la réalisation des francs-bords arrières, il faudra penser au système de gouvernail. C'est donc le moment de s'y mettre ...
En voici quelques photos, en vrac ...
Le tout sera caché, plus tard, par un callibottis à la façon Albertus (voir Navimodélisme)
Pavois et jambettes
Après un nouvel interlude dans la construction du John H Amos, voici à nouveau une série de photos de la construction.
Entretemps, comme le montrent les photos, j'ai enlevé certains barrots afin de rendre l'intérieur de la coque accessible à la machinerie et j'ai enduit l'intérieur de la coque de 3 ou 4 couches de G4 de très dilué à non diliué. J'ai ensuite peind le tout avec un vieux fond de peinture afin de faire "propre".
La fixation de l'arbre des roues à aubes est provisoire.
Collage des jambettes à la colle époxy (merci Roland pour les conseils !)
Travail presque terminé, pour la partie avant du navire. Reste l'arrière.
3ème vendredi du mois : réunion du club et 1ère présentation de mon John H. Amos. D'autres présentations suivront ..., le but étant de détecter les erreurs de construction.
Quelques modifications s'avéreront nécessaires :
Je vais commencer par les jambettes
Elles seront totalement éliminées afin de refaire une transition nette et sans bourlet (ponçage) entre le pont et le bas du pavois. Les jambettes seront ensuite refaites dans une fine plaque d'aluminium (respectant mieux l'échelle) et collées à l'époxy en veillant à ne pas laisser de bourrelets.
Le point de non retour arrive ... : le nom est fixé sur la coque, les ponts latéraux sont collés, ...
Jambettes et franc bord (suite)
Voici le résultat fnal. La continuité avec la coque est relativement bonne (bien que pas parfaite). La jonction entre coque et franc bord sera soulignée (masquée) avec un boudin de protection comme sur le "vrai" (mais quelque peu adapté)
Le vrai :
(photo trouvée sur internet . Le détenteur des droits d'auteur peut me contacter s'il souhaite que je retire la photo du blog)
Pont
Tout le pont sera amovible. Seule le pourtours (sur une largeur = à celles des jambettes) sera collé définitivement en place.
Jambettes et franc bord
Collage des jambettes, qui définiront le positionnement des franc bords lors du collage de ceux-ci. Les jambettes sont alignées sur la coque (verticalement).
Collage du pont
Le pont sera prévu amovible. Seul le pourtour (de la largeur des jambettes) sera collé en place, pour assurer l'étanchéité au niveau de la jointure.
Voilà la coque prête à recevoir ses couches de vernis polyurethane.
La coque a été peinte au rouleau avec les couleurs disponibles (vert brillant et noir satiné) et recevra ensuite un vernis polyuréthane satiné. Tous compte fait, le vert n'est pas trop mal choisi. En effet, le John Amos à une coque verte sous la ligne de flottaison. De plus, il m'a été rapporté de source sure (merci Robert) que les parties immergées étaient souvent recouvertes d'enduits à base de cuivre (donc verts) pour ses propriétés anti-fooling. La limite entre les couleurs sera matérialisée par un liseré blanc.
A mentionner que la peinture a été appliquée directement sur la partie métallique (qui a été dépolie avant) ce qui a posé quelques petits problèmes d'adhérence (notamment en enlevant le tape de masquage).
